Mémoires recueillies par Bernard Salvaing.
Brinon-sur-Sauldre : Grandvaux, France. 2008. 414 p. ill.
Je remercie les personnes qui m'ont aidé par leur relecture attentive du manuscrit dans ses différentes étapes et qui m'ont apporté de nombreuses suggestions quant à la mise en forme de la version écrite de ces mémoires.
Je remercie Tal Tamari, chercheur en sciences sociales au CNRS, qui a relu le manuscrit initial.
Je remercie également Alfa Mamadou Diallo Lélouma pour sa relecture du manuscrit.
Je remercie Laure Doutreuwe et Monique Guinouard qui m'ont aidé à rendre cet ouvrage accessible à un plus large lectorat.
Je remercie Tal Tamari pour son apport, particulièrement dans les domaines de la connaissance de la culture et de l'enseignement islamiques, de l'ethnographie et de la langue et de la civilisation
mandingues.
Je remercie Alfa Mamadou Diallo pour son apport concernant la langue et la civilisation peules du Fouta Djalon.
Merci également à Jean Frémigacci, chez qui a été réalisé à Paris un long entretien où l'auteur s'est tout particulièrement expliqué sur sa vision de la période coloniale, et qui m'a aidé de sa compétence en rédigeant les passages de l'introduction sur la justice et le travail colonial, et les notes correspondantes.
Merci également à Constant Hamès et à Claude-Hélène Perrot.
Merci également aux collègues et amis qui m'ont aidé plus ponctuellement de leurs conseils et encouragements : Jean Boulègue (pour la note 47), Jean Clauzel (pour les notes 87, 138 et 149), Mamadou Oury Diallo (pour la note 217), Maxime Millimono (pour la note 275), Abdel Wedoud Ould Cheikh, (pour la note 227), Ismaël Barry, Roger Botte, François Clément, Lilyane Daronian, Vincent Gohier, Olivier Kyburz, Raghid Obeid, Med Ezzedine Salah.
Merci à Céline Salembier et à Geneviève Bezat pour leur aide lors de la saisie des bandes. Merci à Richard Thibert pour la réalisation des deux cartes et à Jean Salvaing pour celle du croquis de position des environs de Compaya.
Je me dois de remercier également de son aide la famille de l'auteur, en particulier Kesso Baldé, Youssouf Baldé, Ahmadou Moussafa et Mahmoudou Mourtala, tous les habitants de Compaya pour leur accueil, et également tous mes amis guinéens qui m'ont toujours encouragé dans cette entreprise, en particulier Ibrahima Caba Bah, Mahmoud Bah, Mamadou Alpha Diallo, Bonata Dieng et Koumanthio Zeinab Diallo, créateurs et responsables du musée du Fouta-Djalon à Labé, Chacour Sow et sa famille.
Merci également à mes éditeurs Catherine et Bernard Desjeux pour leur appui constant, ainsi qu'à Claire Maggi. Pour terminer, je remercie tout particulièrement les deux personnes qui ont assuré devant moi la traduction des bandes peu après leur enregistrement : le regretté Mamadou Hadi Sow pour les premières bandes, et Mamarou Bah pour la suite des enregistrements.
Il est bien évident que leur contribution à la rédaction de cet ouvrage a été d'une grande valeur.
Les erreurs qui subsisteraient ne doivent être imputées qu'à moi-même.