Paris. Montréal. L'Harmattan.
Collection Racines du présent. 1997. 2. vols., 994 pages.
A mon regretté père, Alfa Bakar Hinde et à ma chère maman, Neene Kade Sall, qui m'ont mis à l'école malgré l'hostilité de leur entourage.
A mon épouse, Jenabu Sise et à nos enfants dont la compréhension et le courage ont rendu possible ma longue absence.
A mon frère, Falilu Bari, qui a comblé le vide que j'ai laissé dans la famille,
Je dédie ce travail.
Sans le concours d'un certain nombre d'institutions et de personnes publiques ou privées, ce travail n'aurait sans doute pas vu le jour.
C'est pourquoi il m'est un devoir agréable d'en citer quelques unes ici afin de leur signifier ma reconnaissance.
En premier lieu, il convient de mentionner les autorités compétentes de la France et celles de mon pays, la Guinée, dont la coopération a permis de réunir les conditions indispensables à la réalisation du présent travail.
Dans cette coopération, il y a des personnes qui ont joué un rôle-clef, que je tiens à remercier :
Cette dernière mention me fait directement penser à mon directeur de thèse, Mme Catherine Coquery-Vidrovitch, dont l'appui constant et efficace auprès du Ministère de la Coopération a joué un rôle capital dans la solution heureuse des problèmes administratifs qui ont failli compromettre ce travail pour lequel j'ai tant sacrifié. A cela s'ajoute son encadrement pédagogique et scientifique de qualité pour lequel je tiens à lui rendre hommage. Avec elle, je remercie tous les professeurs qui ont participé à ma formation, en particulier :
Je remercie les professeurs qui, au cours de la rédaction, ont bien voulu lire (entièrement ou partiellement) mon manuscrit et me faire des suggestions utiles. Outre mon directeur, il s'agit de M. Jean Suret-Canale, Mme d'Almeida-Topor et M. Jean-Pierre Chrétien.
Par ailleurs, la collecte de la documentation écrite et orale m'a imposé des déplacements et des séjours prolongés dans les centres documentaires appropriés de France, du Sénégal et de la Guinée. Partout, j'ai rencontré aide et soutien.
En Guinée, toute ma reconnaissance va à la direction des Archives Nationales et aux autorités administratives des préfectures (ou des sous-préfectures dépendantes) de Labe, Tuge, Maali, Kubiya, Pita, Dalaba, Maamun et Daabolaa, qui ont facilité mes contacts avec mes informateurs. Je tiens à remercier particulièrement ceux qui, en même temps et à titre privé, m'ont assuré l'hospitalité ou d'autres formes d'aide matérielle, MM. :
respectivement préfets de Pita, Maali, Kubiya, Secrétaire Général de la préfecture de Dalaba, sous-préfets de Diten, Pooredaaka, Timbi-Madiina, directeur préfectoral des TP de Tuge, lors de mon passage (en mars-avril 1989). Je m'en voudrais de ne pas citer le directeur préfectoral de l'Education de Kubiya qui a été mon premier hôte dans cette préfecture lorsque j'y ai débarqué en pleine nuit, alors que je ne le connaissais même pas. Je ne manquerai pas d'évoquer ici, avec beaucoup d'émotion, le souvenir de mon regretté oncle Cerno Sa'iidu Sall, récemment victime d'un accident de la circulation et qui a été mon principal hôte à Labe. Mon frère Adama et la famille Teliwel de Labe (notre belle famille), mon oncle Cerno Ciwto Sall de Maamun et bien d'autres parents qui m'ont tous accueilli à l'occasion de mon passage, protesteraient sans doute que je suis de la famille ; je leur dis néanmoins merci. Bien évidemment, je n'oublie pas mes informateurs qui se sont tous prêtés avec patience à mes questions et m'ont livré leurs témoignages édifiants. Ils se reconnaîtront à travers la liste que je leur ai consacrée en annexe et dans les nombreuses citations dont ils ont été l'objet tout au long de ce travail. Qu'ils en soient vivement remerciés. Entre autres, je resterai reconnaissant à Alhajji Usman Lonsin de Labe, qui a été pour moi plus qu'un informateur, un guide.
Au Sénégal, je remercie les autorités des Archives et celles de l'IFAN qui m'ont facilité la tâche. MM. Saliwu Mbaye et Makane Fall doivent être cités pour l'attention qu'ils m'ont témoignée.
Toute ma gratitude au département d'Histoire de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l'Université de Dakar, pour l'aide matérielle qu'il m'a apportée. En particulier, je remercie Bubakar Bari qui m'a offert l'hospitalité durant mon long séjour et a mis sa bibliothèque à ma disposition. J'ai été très sensible à ce soutien matériel et aux encouragements constants qu'il n'a cessé de me prodiguer depuis que j'ai entrepris ce travail de recherche.
En France, je remercie les autorités des bibliothèques et des archives pour les facilités et parfois les sympathies que j'ai rencontrées auprès de leurs personnels.
Toute ma gratitude à Mmes Jelinski et Vergnault qui m'ont ouvert les portes du laboratoire de graphique de l'EHESS (pour la réalisation de mes cartes) et m'ont assisté autant que le leur permettaient les circonstances.
D'autre part, des amis nombreux, par leurs marques de sympathie et parfois leur aide matérielle, ont contribué à m'assurer des conditions agréables de séjour et de travail en France. Je tiens à les remercier. Il s'agit, entre autres, de :
Enfin, pendant ma longue absence en Guinée, des amis et parents nombreux sont restés particulièrement attentifs aux problèmes quotidiens qui se posaient à ma petite famille et l'ont aidée à les résoudre. Je tiens aussi à les remercier. A défaut de pouvoir les nommer tous, je n'en citerai que quelques-uns : Saliwu Silla, Balla Kuruma, Usmane Sanoko, Mustafa Bari, Alhajji Aamadu, Wuuri Bari …